Pour Pierre, ça a commencé en quatrième et « ça lui permettait de pouvoir entrer dans le cercle social de ceux qui boivent, de ceux qui font des soirées ».
Tu as vraiment l’impression d’être une meilleure version de toi-même quand tu as bu.
Pierre
Partie faire un spring break en Croatie, où l’alcool coulait à flot, Carole raconte que « c’est stylé de boire ». Quant à Marie, elle « avait besoin de faire toutes les expériences que tout le monde a faites au lycée ».
L’alcool me faisait dire : c’est possible avec qui je veux, n’importe où, n’importe quand.
Marie
Yahya, qui ne boit pas d’alcool pour des raisons religieuses, souligne que pour être accepté il faut boire.
L’alcool est un vecteur social et, pour être in, je dois boire.
Yahya
En caméra cachée lors de soirées étudiantes, Black-out dévoile aussi des comportements de plus en plus extrêmes, parfois hallucinants, où l’alcool semble régir les interactions.
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