Jeunes, jolis et talentueux, ils sont la Génération Culturebox

Depuis deux ans, la maison des artistes Culturebox, l’émission s’est transformée en rendez-vous de la nouvelle scène artistique française. Daphné Burki et Raphäl Yem ont déjà accueilli plus de 3 000 artistes dans leur émission, parmi lesquels de nombreux jeunes talents issus de tous les champs artistiques. Ces révélations ont depuis connu le succès et les récompenses, aux Victoires de la Musique et aux César notamment. Aujourd’hui, Culturebox, l’émission continue de miser sur le futur en consacrant une semaine spéciale à ces nouveaux visages qui feront la vie culturelle de demain. 

Tout au long de cette semaine exceptionnelle, vingt jeunes artistes, sélectionnés par la rédaction, vont venir performer sur la scène de l’émission et dévoiler leurs processus créatifs. La plupart d’entre eux se produiront pour la première fois à la télévision. Ils viennent de la danse (néo-classique, contemporain, krump…), de la musique (pop, rock, lyrique, rap, électro, world), du cinéma, du monde des séries, de l’humour, de la mode, de la littérature ou encore de la bande dessinée. Ils représentent la diversité culturelle actuelle et font partie des plus beaux espoirs de la création francophone.
Toujours avide de nouveauté et de découverte, la pépinière de talents de Culturebox, l’émission va les mettre en valeur et partager avec vous ses coups de cœur artistiques. Prêt à les découvrir ? 

Ils seront sur la scène de Culturebox et pour la plupart il s’agira de leur première apparition à la télé française métropolitaine (*).

Lundi 20 mars :
Julia de Nunez* (actrice) : À tout juste 20 ans et après une formation à l’école d’art dramatique Jean Périmony, l’actrice franco-argentine Julia de Nunez s’apprête à marquer les esprits en incarnant Brigitte Bardot dans la série-événement Bardot, réalisée par Danièle et Christopher Thompson pour France Télévisions. 
Sheng* (rappeuse) : À travers son rap féministe et contemplatif, la jeune Parisienne mélange ses origines libanaises et chinoises et milite pour plus de diversité dans le milieu du hip-hop. 
Yaåster* (chanteur) : Yaåster est un musicien aux allures de pirate qui aime mélanger les styles et les époques. Avec sa pop psychédélique, il revisite les sonorités des années 1970 et 1980 en les catapultant dans le XXI^e siècle. À mi-chemin entre le roi de la funk George Benson et les rockers australiens de Tame Impala, Yaåster est un dandy solaire en quête d’amour et d’espoir. 
Adeline Kerry Cruz (danseuse) : À seulement 8 ans, Adeline Kerry Cruz est une jeune prodige du krump, cette danse urbaine née au début des années 2000 dans les quartiers pauvres de Los Angeles. Originaire de Montréal et repérée sur Instagram par la chorégraphe française Maud Le Pladec, elle s’est déjà produite dans le cadre du Festival d’Avignon avec le spectacle Silent Legacy, mais aussi à Chaillot-Théâtre national de la danse en mars 2023.
Lodgerz* (duo électro) : Originaires de Douarnenez, les frères Hascoët ont été repérés par la star DJ Snake, avec qui ils ont partagé la scène des Vieilles Charrues et qui les a invités à assurer la première partie de son concert londonien il y a quelques semaines. Guillaume et Gauthier, 23 et 21 ans, font danser les foules avec leur house euphorisante. 

Mardi 21 mars : 
Saül Benchetrit* (actrice) : À tout pile 16 ans, Saül Benchetrit est déjà considérée comme un des grands espoirs du cinéma français. La fille de l’écrivain et réalisateur Samuel Benchetrit et de la comédienne Anna Mouglalis a débuté sa carrière en donnant la réplique à Sophie Marceau dans I Love America de Liza Azuelos, avant de marquer les esprits dans la série Chair tendre diffusée sur France TV Slash et France 5. Dans les prochains mois, on la retrouvera également au casting de la série Jeune et golri diffusée sur OCS. 
Anatole Hossenlopp* (danseur et chorégraphe) : Anatole Hossenlopp a signé sa première chorégraphie à l’âge de 14 ans seulement. Après des études à l’École de danse de l’Opéra national de Paris et au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, il a par la suite travaillé auprès de chorégraphes de renom, parmi lesquels Benjamin Millepied, Annabelle Lopez Ochoa ou Ruth Childs. Aujourd’hui, il développe son propre style et prend son « Envol », comme le titre de son nouveau spectacle. 
The Psychotic Monks* (groupe de rock) : Originaires de Saint-Ouen, les cinq membres du groupe The Psychotic Monks sont en train de révolutionner le paysage « noise » français. Parmi leurs influences revendiquées : le peintre Francis Bacon et l’écrivain George Orwell. Les concerts de The Psychotic Monks sont des moments de communion intense. 
Kevin Germanier* (créateur de mode) : Avec sa mode à la fois glamour et éco-responsable, le styliste suisse Kevin Germanier s’est imposé comme la nouvelle star de la planète fashion. Ses vêtements créés à partir de chutes de tissus issus de la fast-fashion et de matières recyclées ont tapé dans l’œil de Lady Gaga, Beyoncé, Björk, Kristen Stewart et Taylor Swift. Son credo : développer une mode colorée, inventive, éthique et joyeuse. 
Brö (chanteuse) : La jeune chanteuse de 25 ans à la plume acérée s’inscrit dans la mouvance de la « nouvelle variété » et décloisonne les genres. De Barbara à Britney Spears en passant par Kalash Criminel, Brö revendique une diversité d’influences et fusionne tous les styles, du rap au jazz, de la soul à la musique classique. 
 
Mercredi 22 mars : 
Benjamin Epps (rappeur) : Originaire du Gabon, Benjamin Epps s’est imposé sur la scène rap mondiale en étant sacré Meilleur flow international aux BET Hip Hop Awards 2022. Le talent de Benjamin Epps a également été remarqué par des artistes comme Dinos, Selah Sue, Santigold, Youssoupha, Busy P ou, dernièrement, la chanteuse belge Lous and The Yakuza, qui l’a invité pour un featuring sur un titre de son dernier album, Stop.
Romane Granger* (dessinatrice) : Avec sa première bande dessinée intitulée Bettina Batenica, Romane Granger nous propose d’enquêter sur un mystérieux institut (L’Institut du Radèze) niché au cœur des montagnes ardéchoises et qui propose à ses adeptes de « se décharger du terrible fardeau de leur mémoire ». Après une expérience dans le cinéma d’animation et la réalisation de vidéos pour des grandes marques de luxe, l’autrice nous invite dans un univers de science-fiction. 
Saodaj (groupe de maloya) : À eux cinq, ils incarnent le renouveau du maloya, ce courant musical emblématique de leur île natale de La Réunion, en le fusionnant avec des sonorités australes, asiatiques, ouest-africaines et européennes. En langue créole ou en langue française, ils questionnent les beautés et les dérives du monde tout en saluant parfois le courage politique des héroïnes du quotidien comme leur single Monmon Kolonel. 
Amel Khaies* (danseuse et chorégraphe) : Amel Khaies aurait pu devenir chargée de relation financière ou travailler dans le commerce international, mais c’est finalement sa passion pour la danse qui a pris le dessus. Après des études au Broadway Dance Center de New York et au Millenium Dance Complex de Los Angeles, elle est revenue s’installer à Paris pour développer ses créations qui fusionnent le contemporain, le modern jazz et le hip-hop. Avec sa compagnie baptisée « Les résilient.es », Amel Khaies travaille actuellement sur une création pour six danseurs intitulée « La parole des vents ».
Emy Gazeilles (artiste lyrique) : Originaire d’Avignon, la jeune soprano Emy Gazeilles a déjà interprété sur scène les rôles de Papagena dans La Flûte enchantée de Mozart, Gilda dans Rigoletto de Giuseppe Verdi et Iris dans Semele de Georg Friedrich Haendel. En 2022, elle a obtenu à l’unanimité le Premier Prix de chant au Conservatoire national de musique et de danse de Paris.
 
Jeudi 23 mars :
Sara Mychkine* (écrivaine et poétesse) : C’est l’histoire d’une femme, perdue sur la « colline du crack », qui écrit à sa fille. C’est l’histoire du monde qui s’effondre, d’une société qui vacille, d’une marge qui a la rage. Avec ce premier roman intitulé De minuit à minuit, Sara Mychkine nous emporte dans un cri de colère et frappe en plein cœur. Originaire de Niort, d’origine tunisienne par son père et française par sa mère, l’autrice a étudié le droit et la philosophie. 
Lazy Flow (DJ et producteur électro) : DJ résident d’une des soirées les plus courues de la capitale, « La Créole », Lazy Flow aime mélanger les genres, bousculer les codes et faire danser une jeunesse métissée et gender fluid. Sa musique mixe allègrement la house au Baile Funk, le dancehall à la Soca. Un set de Lazy Flow est un moment de pure énergie, un rituel envoûtant, une déflagration dans tout le corps. 
Sixtine Manigot* (danseuse et chorégraphe) : Repéré.e sur Instagram, Sixtine Manigot développe son style expérimental en fusionnant le classique au jazz, le contemporain au hip-hop tout en ne dédaignant pas faire quelques œillades à la danse dite « commerciale ». Du haut de ses 19 ans, iel refuse les assignations de genre et souhaite dans un futur proche mêler son art à ses autres passions : la photo, la réalisation et le mannequinat. 
Blandine Lehout (humoriste) : Elle dit d’elle-même qu’elle est une « femme imparfaite », une « bonne pote », une « jeune maman » et surtout qu’elle a « la tête pleine de questions existentielles ». Validée par les humoristes Laura Felpin et Tristan Lopin, Blandine Lehout décline son humour à la fois sur scène, dans son spectacle « La vie de ta mère » et sur les réseaux sociaux. Elle a également été invitée à se produire dans le cadre du prestigieux Montreux Comedy Festival en 2022. 
Jahïem Solo* (chanteur) : C’est un chanteur de R&B qui fait tout tout seul. Repéré via les réseaux sociaux, Jahïem Solo autoproduit sa musique et vient de publier ses chansons Desktop et Reset sur les plateformes musicales. Parmi ses influences revendiquées : Janet Jackson, le groupe TLC et Spiderman.